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Archives 04/2016
République Dominicaine  -  par Gayel

 

République Dominicaine

Passage éclair en République Dominicaine, où nous espérions croiser quelques baleines. 

En effet, chaque hiver, les Baleines à bosses entreprennent une migration de 3500 à 7500 kilomètres, depuis les zones d'alimentation situées sur la Côte Est des États-Unis et du Canada, au Groënland et en Islande, jusqu'aux zones de reproduction dans les eaux territoriales de la République dominicaine.

Une grande partie de la population des baleines à bosse du Nord-Ouest de l'Atlantique passe les mois de janvier, février et mars à se courtiser au Banco de la Plata et au Banco de la Navidad, ainsi que dans la Baie de samana, qui sont les zones spécifiques où se forment les couples et où les femelles mettent bas.

Les femelles enceintes mettent bas et ensuite allaitent leurs petits baleineaux, les préparant ainsi à un long voyage de retour vers le Nord. Les baleines juvéniles apprennent grâce à l'exemple des adultes, les rôles de reproduction qui garantiront le futur de l'espèce.

La saison se termine fin Mars. Vu que nous sommes déjà en Avril, peut être est ce la raison de notre absence de chance sur l'observation de ces rois des mers, et ce malgré l'envoi du Capitaine et du mouss en tête de mat...

En revanche, nous sommes accompagnés par quelques dauphins, et croisons même une tortue Luth (la 1ere du voyage) en sortant de la baie de Samana.  Pas le temps de degaîner les appareils photo cette fois...

Les plages ont par contre, un air toujours aussi paradisiaque. Nous étions déjà venus en amoureux, il y a 7  ans. 

Quelques images :

 

  

 

Publié le 18/04/2016 17:31  - 1 commentaire 1 commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
Puerto Rico 4/4 - Suite San Juan et arecibo  -  par Gayel

San Juan : La suite 2/2.

  

The mall: A défaut de trouver un bus partant prés de la marina, nous prenons un taxi (12$ pour le trajet marina/the mall) afin de nous rendre non loin de Roosevelt avenue et de plonger dans la civilisation. Nous voilà arrivé à Plazza Americana, soit  un gigantesque centre commercial élevé sur 3  étages, représentant 60 000m2. Passer des iles désertes à tant de civilisation et au paradis de la consommation... ça fait un choc! Les enfants, eux sont ravis ! Magasins Disney,  burger king et autres échoppes à mal bouffe, divertissements variés au milieu des immenses galeries, clowns, magasins de confiserie digne de Charlie et sa chocolaterie (ça tombe bien, c'est pâques!!!)

  

.... bref, bain de foule, de bruits, d'odeurs. Pas mécontents de revenir sur notre petit bateau le soir, et en bus cette fois!

The old san juan : Un quartier magnifique! Ses rues étroites sont pavées d’adoquine (une pierre bleue utilisée comme ballast sur les galions espagnols) et ses forteresses du 16e siècle, particulièrement l’imprenable El Morro de six étages s’élevant à 46 m au-dessus de la mer, étonnent encore comme merveilles d’ingénierie. Ce modèle de repères protégés du Vieux Continent possède aussi des bistros tendance, des boutiques de designers, des galeries d’art, des églises et des maisons de ville coloniales avec des balcons de fer forgé fleuris.

  

Spéciale dédicace pour Phiippe C : Neptune de San Juan (promenade le long de la cote du vieux San juan):

Beaucoup de monuments et maisons conservent un style hispanique prononcé, teinté d'exotisme caraïbe. Leurs toits sont parfois couverts de tuiles vernissées faites  à la main.

Nous découvrons le quartier des chats, observation des perroquet locaux (assez rares, puisqu'on en dénombrait uniquement 13 individus en 1975). Ce perroquet, emblème de l'île reste l'un des 10 oiseaux les plus menacés au monde.

Au restaurant,  repas métisse créole /hispano. Nous laissons notre trace sur les murs..

  

 

  

Visite de la maison blanche de San Juan, au plafond magnifique, construite en 1521 par le gendre Juan de Ponce de León, premier gouverneur de l'île

    

C'est aussi l'occasion d'ecouter de la salsa dansée en plaine rue ou encore de voir des démonstrations de fabrication de cigares...Journée bien remplie et instructive! Sur le retour, petit concert de jazz en plein air et jeux pour les enfants.

 

 

Totem de la plazza del quinto centenario, qui consacre les  500 ans de la découverte de l'Amerique par Christophe Colomb. Il fut  construit en  1992 Par Jaime Soarez, et est constitué de granit et de symboles en céramiques. Il atteint 12m de haut et symbolise les racines européennes de l'histoire du continent américain. 

Après les réjouissances et visites, vient le temps des réappros, notamment de gaz, car c'est bien beau de s'enfiler des bons petits plats maisons, mais la bouteille de gaz ne se remplit pas toute seule, et c'est le moins qu'on puisse dire. Depuis le départ, le refill ou changement de bouteille de gaz est toujours un sport pour la trouver,  allié à une loterie quand à son prix. Notre bonne vieille "camping gaz" jusqu'ici à peu prés trouvable partout entre 27€ et 3,4€ (Cap Vert), est ici inconnue au bataillon depuis le cyclone Hugo (1989...) dixit un gazier local. Gaël part en mission avec une bouteille en sac à dos et l'autre dans notre trolley. Rebond de station service en usine de stockage de gaz le tout pendant 14km le long de l'autoroute car à Puerto Rico personne ne vous prend en stop, quand au bus avec 2 bouteilles de gaz, imaginez la tête du slogan local "Safety First" ... 

Arrivé dégoulinant de sueur à la station TropiGaz qui rempli des centaines de bouteilles par jour en plein milieu de la délicieuse zone portuaire, le vigil m'indique que cela ne réouvre que dans 1h, ça tombe bien un camion repas et là au rond point avec un parasol.... A l'ouverture je suis le premier, mais la tête du pompiste en voyant mes bouteilles ne laisse rien présager de bon.. il fouille partout dans tous ses tiroirs de raccords, mais aucun de marche.. Je suis sûr qu'au Sénégal ou au Cap vert cela serait réglé depuis longtemps, mais on ne badine pas avec les normes de sécurité aux US: Il faut le bon raccord approuvé... Il faut que je trouve The raccord, mais mon espagnol est à la hauteur de son anglais. Les explications pour trouver le raccord semblent un charabia incompréhensible. Et là demi miracle une voiture se gare, ouvre le coffre et sort... 4 bouteilles camping Gaz, je me sens d'un coup moins seul.

Ainsi, je fais la rencontre de Sahid Perez' surfeur professionnel Vénézuélien, exilé à Puerto Rico, qui rend service à un ami d'un bateau espagnol pour remplir ses bouteilles.

Il me prend sous son aile au passage. Son espagnol nous amènent dans tous les méandres de la caste secrète des gaziers de San Juan, mais 2h30 de voiture et 10 boutiques de raccord, bouibouis hors d'âges et usines de refill top modernes plus tard, nous nous rendons à l'évidence: il faut acheter une bouteille de propane US. Certes pas si chère 46$ pour le triple de la contenance de ma camping gaz mais aussi le triple du volume qui ne rentrera pas dans mon coffre à gaz...

Il est 4h de l'après midi mais Sahid et  moi avons bien mérités quelques bières fraiches à bord. En discutant Sahid, certes surfeur pro,  a également une boite d'excursions touristiques, et à notre demande nous propose une balade canyoning semi privée à El Yunque à 80$ /pers. Notre budget ne nous le permet pas. Sahid nous propose alors de bénéficier des ses tarifs pro pour une location de voiture. Magique le tarif passe de 90$/jour à 25$+assurance (40$ US obligatoire...), avec en prime tout le topo pour se rendre sur le bon spot. Merci pour tout Sahid, on t'attend en France cet été!

El yunque

Les Taínos pensaient que le dieu du bonheur vivait à El Yunque. Voilà qui explique sans doute qu'une randonnée à travers la forêt tropicale jusqu'à ce pic, qui culmine à 1 065 m, procure un sentiment de bien-être et de satisfaction personnelle, même si la marche est rude. Cette montagne, qui fait partie de la chaîne des Luquillo, a donné son nom à la réserve forestière environnante, aussi appelée pompeusement la "Caribbean National Forest". Les instances touristiques se plaisent à la présenter comme l'unique forêt tropicale du réseau de parcs nationaux des États-Unis.

La réserve, d'une superficie de 11 200 hectares, abrite plus de 400 espèces d'arbres et de fougères qui poussent avec frénésie dès que les nuages chargés de pluie poussés par les vents de l'Atlantique déversent leur eau sur la chaîne des Luquillo, créant des conditions de serre.

Nous cherchons le chemin menant  à Charco frio, indiqué par sahid.

Nous prenons en stop 2 jeunes filles au passage qui nous aident à trouver l'acces, assez caché. 3$ pour garer la voiture dans un terrain fermé (10$ si on va au parking du bout, qui est un terrain privé, permettant de rejoindre Charco frio plus rapidement). 

En pénétrant dans la forêt tropicale, nous sommes  accueillis par les coassements de la grenouille coquí (emblème national de Porto Rico). Les fleurs abondent ici  : orchidées miniatures, balisiers etc.  Descente en canyoning sur les fesses et sauts de cascades pendant 1h30. Sortie fraicheur!

 

Rencontre avec un escargot que nous ne connaissions pas également :

De retour à la marina. La baie de San juan est un refuge pour les lamantins des caribes. La population est estimée entre 400 et 600 individus. Les animaux fréquentent les baies et très peu les rivières. Ils se retrouvent à l'embouchure des rivières uniquement pour s'abreuver. Nous essaierons d'en voir... en vain... mais c'est quand même l'occasion de faire un mini cours sur ces mammifères aux enfants!

Le dernier jour, alors que nous nous apprêtions  à lever l'ancre, nous voyons arriver "Cruising bird" dont Krysfil nous avait parlé. Bateau français, dont l'équipage se compose de 4  garçons, Martin, 5 ans, Basile et  Felix, des jumeaux de 8 ans, Oscar, 10ans, Emmanuelle et Nicolas.  Titou est ravi de trouver autant de copains d'un coup, et la troupe s'entend super bien! Apéro à leur bord et échange d'infos. Nous pensons nous retrouver aux Bahamas, et pourquoi pas faire la traversée retour ensemble! Nous restons donc 1 journée de plus et c'est l'occasion d'aller faire un dernier tout au barrio artistico, que nous avions parcouru de nuit, au retour d'el Yunke.

Les tags sont époustouflants!!! Un petit montage pour donner une idée...

Arecibo : 

Arrivée au mouillage qui semble isolé et tranquille, en face d'une belle plage sur fond de bachata.

Nuit assez agitée avec courses de voitures ou moto dont plaisir principal semble être de faire rugir les moteurs.

Reveil matinal par les cost guards cagoulés qui demandent les papiers. Pour une fois, tout est en règle....

Petit tour à terre, le long de la mangrove. Repas sur le bord de route de  mofongo ("mixture" certainement aux bananes plantain avec crevettes  ou crabe des mangroves) + pastellitos + piragua pour les enfants ( = snowball, granités aromatisés).) et pina colada pour les parents. La dame nous amène même à Arecibo, le stop étant inconnu à Puerto rico (Gael en avait déjà fait les frais lors de sa recherche de gaz).

 

Nous apprenons que l'observatoire d'Arecibo, le plus grand radiotélescope du monde exploité par la Cornell University qui à en croire la rumeur, sert au gouvernement américain pour observer la vie extraterrestre, est fermé. Nous souhaitions le visiter et étions en quête d'un taxi ou d'une voiture pour le rejoindre. 

Pour nous consoler, visite d'Arecibo, qui regorge de tags. Un nouveau montage pour vous  et quelques images de la vill, qui a même sa statue de la liberté:

   

  

Retour à pieds, le stop n'étant vraiment pas pratiqué ici!!! Un peu long pour les enfants mais cela nous permet de longer la mangrove et de voir quelques iguanes, dont certains malchanceux qui sont restés trop pres du bord de route. Les enfants auront ainsi la confirmation que les mamans iguanes sont bien ovipares.

Atelier fabrication de leurres maison.. à la Calico, histoire de pêcher plus car pour l'instant nous sommes à la traîne.. !

 

Navigation vers Samana pour y observer les baleines. En vain, mais nous serons accompagnés par quelques dauphins. 

Les leurres donnent de suite quelques résultats...

1er avril .... reveil difficile parfois :

Publié le 18/04/2016 00:27  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
Puerto rico 3/4 - Fajardo et San Juan 1/2  -  par Gayel

Puerto rico : 3/4

San Juan : 1/2

 

Porto Rico est une île où se côtoient un mode de vie à l'américaine et une culture hispano-caribéenne vieille de quatre siècles.

D'où d'étonnantes juxtapositions de parkings et de plazas, d'autoroutes et de fontaines, de gratte-ciel et de cabanes - une mosaïque culturelle qui reflète bien l'histoire hybride des Caraïbes.

FAJARDO : Quelques heures de nav en mode rase cailloux au prés épaulé du moteur pour passer les caps... puis nous mouillons en face de Fajardo, juste à l’Ouest d’une toute petite île entièrement privée: Isleta Marina. L'île est un ensemble de 2 immeubles, genre HLM (maisons secondaires des proprios),  autour de piscines grillagées, terrains de jeux et de sport grillagés... pas très glamour ! Idem pour la marina, plutôt délabrée et dont les pontons n'inspirent pas confiance. Accueil strict d'un gardien ressemblant à "Djaba de hut" de star wars, "c'est notre île c'est nos lois" ok le ton est donné et qui nous rappelle que déposer une poubelle étrangère sur un sol US est passible d'une forte amende (ben voui, nous on mange des bactéries avec nos fromages qui ont du goût!!)...

 Il nous autorise cependant  à utiliser la laverie de la marina (2$ lavage et 2$ séchage) et, dans sa grande bonté, fera une exception en nous accordant le droit de remplir 5 bidons d'eau...

Wifi à bord en revanche...

On quitte le mouillage le lendemain direction San Juan. 

San Juan:

San Juan est une place forte très particulière. Les Espagnols, premiers occupants de Puerto Rico en avaient fait une pièce maîtresse dans leur stratégie de conquête du Nouveau Monde. En effet, depuis l’Europe jusqu’en Amérique du Sud, Puerto Rico était la première île sur le trajet disposant de ressources en eau et en produits alimentaires permettant aux navires de se ravitailler et de reprendre leur longue route. San Juan en particulier, avec sa rade très abritée était une halte salutaire pour toutes ces caravelles qui partaient découvrir les richesses du Nouveau Monde (et par la même occasion les piller et en décimer les habitants…);

L’Espagne n’a donc pas lésiné sur les forteresses qui protègent ce poste avancé des conquêtes et explorations. Elles sont au nombre de 2 et protègent la ville des canons ennemis venant du large tout en bloquant tout intrus qui tenterait de trouver refuge dans le port de San Juan.

En venant de la mer, on est donc accueilli par ces forteresses et par le vieux San juan aux maison colorées.

Après une navigation assez musclée avec 30 nœuds de vent mais au portant, on tente le mouillage au pied du Morro, devant une minuscule plage, mais le chenal d'entrée de la baie est juste derrière nous et il y a beaucoup de passage et la houle nous berce un peu trop... Comme on a zéro info sur le coin (aucun guides et peu d'éléments, c'est pas bien !! ), Gaël fait un tour en annexe dans la rade afin d'aller faire les démarches auprès des autorités et de trouver un endroit pour poser l'ancre. Il revient trempé, et ayant rencontré des québécois au mouillage en face de la marina qui nous "déniaiserons" sur l'endroit mieux que les coast Guard à qui Gaël avait demandé où faire la clearance et n'a reçu qu'un "go away it's a gouvernemental dock !". Bien évidement quelques apéros s'ensuivront afin de sceller l'amitié franco-québécoise. Leur bateau s'appelle "Point du Jour" avec Edith et Gilles qui remonte vers le Québec après un tour de l'atlantique. On espère les croiser de nouveau aux Bahamas.

Dans le genre arrivée en benêts à la "frenchy arrive aux US", on continue le sketch de la Clearance. Edith et Gilles nous on dit de ne surtout pas aller directement au bureau des douanes mais de les appeler avant sous peine de 4500$ d'amende par personne... une paille ! Ok, 4 coup de fils et 1h30 plus tard en attendant que le douanier du CBP (Custom Border Protection) soit dispo (ou disposé, car la relève est arrivée entre 2..), Gaël passe 40min au tel pour tout décrire passeports, itinéraire, papiers du bateau, le tout épelés en alphabet international: belle torture... Au final tout est clair; il suffit de mettre maintenant le bateau contre un quai, pour inspection par le CBP. La marina est fermée, car vendredi saint. De plus, le système d'amarrage contre des gros poteaux bien rugueux ne conviennent pas à la peinture de Tsaëlou, et les 30kts de vent nous incitent à choisir l'endroit d'accostage le plus facile.... erreur. Nous nous sommes posé contre un gros quai, prés du Cruise ferry dock, après une barrière "restricted Area"; on pensait être derrière la zone. Ben non, en plein dedans!

 On attend 20min, pas de CBP inspector. Après coup de tel, ils arrivent (ils nous attendaient à la marina...). Mais là, coup du sort, le vigil de la restricted area leur interdit l'accès !! Duel de badge ! Ils tentent une autre percée mais en vain. Entre temps, le vigil appelle son boss; du coup arrivent : 1 voiture avec 2 vigils, 1 avec 2 policeman, et nos 2 CBP Field Operator, et là juste au milieu, un petit Gaël que tous dépassent d'une tête qui tente de s'excuser / expliquer..., Bref il faut avancer de bateau de 20m... Apologize...

Après une lamentable manœuvre, parfaitement dans le genre "je suis pas manœuvrant par 30 kts, je vous l'avais dis", nos inspecteurs demandent les passeports, tout en restant derrière la balustrade,

La fin résumée en dialogue:

-" ok tout est en règle"

-.Quoi vous ne montez pas à bord ?

- Non c'est juste au cas où!"

Toute cette mascarade pour ça!!!

....  les enfants en train d'escalader le bateau et de sauter sur les trampolines ont sans doute eu raison de leur soupçons de trafic de drogue. Un tour au bureau, 1h et 19$ plus tard, le précieux sésame en main (Cruising License valable 1 an dans tous les US), notre captain rentre au bateau un poil éreinté. Reste à reprendre un mouillage et un apéro avec Edith et Gilles !!

Mouiller en face de la marina procure quelques avantages : wifi un peu faible mais existant. Pour 5 $ par jour (en fait nous n'en règlerons que 3 alors que nous resterons 7 jours) on peut laisser le dinghy et avoir accès aux douches (grand luxe : eaux chaudes sans avoir à réamorcer par piston !). Eau pour refill = 15 cts le gallon.  Essence et diésel à 50cts le litre, on comprend pourquoi il n'y a pas de voiliers mais que des gros motor-yachts de pêche au gros.

Dommage que cette marina soit ceinturée par une 3 fois 2 voies immense peu pratique à traverser pour rejoindre les quartiers du centre!

Publié le 13/04/2016 21:43  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
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